Le milieu du XIXe siècle est marqué par un développement dynamique de Szczawnica.
L'année 1857 a vu arriver dans cette ville Monsieur Józef Dietl, médecin et propagateur des villes sanatoriales polonaises qi a défini les axes du développement de Szczawnica. C'est alors qu'on a créé de nouvelles maisons et centres d'accueil spa. On a découvert de nouvelles sources d'eau thérapeutique.
En 1909 r. Szczawnica est devenue propriété de Adam Stadnicki de Nawojowa. Son activité, déployée dans une période difficile du point de vue économique, la période des guerres mondiales, a permis de continuer le développement de Szczawnica. On a modernisé la plupart des centres d'accueil spa, on a agrandi le Parc Supérieur en y ajoutant les terrains de Połonin, on a construit un inhalatorium avec des chambres pneumatiques uniques dans son genre dans la Pologne de l'époque. On a construit la confortable "Villa des Mélèzes."
L'éclatement de la II Guerre Mondiale a interrompu le développement de la ville balnéaire.
1948 - les autorités de la République Populaire de Pologne ont nationalisé les centres de traitement.
1956 - on a créé le Centre National de Traitement de Szczawnica. On a orienté les thérapies sanatoriales de Szczawnica principalement sur le traitement des maladies professionnelles des mineurs et des métallurgistes. On a commencé à construire des sanatoriums destinés aux différentes branches, entre autres : le "Métallurgiste", le "Mineur", avec le temps des centres destinés à d'autres métiers, par exemple "l'Instituteur", les "BTP", le "Papetier", "Dzwonkówka" et le "Navigateur."
2001 - les héritiers du compte Adam Stadnicki ont demandé au Ministre de la Santé d'annuler la décision du mois de mars 1948 sur la nationalisation et la création du Centre National de Traitement.
2005 - le gouvernement polonais a restitué la station balnéaire Szczawnica aux descendants des propriétaires d'avant-guerre qui ont entrepris sa reconstruction moyennant de nombreux investissements et des projets qui promeuvent le Spa sur le territoire national et à l'étranger. En ce moment-là Andrzej Mańkowski, le petit-fils du comte Adam Stadnicki et sa femme ont décidé d'engager des fonds pour restituer à Szczawnica, lieu qui leur a toujours été cher, la splendeur et le charme d'antan.